« Les vrais génies du XXe siècle ne sont pas des cinéastes, ni des peintres, des savants ou des écrivains. Ce sont des musiciens de jazz, comme Duke Ellington. » (Orson Welles).
Oui sans aucun doute, Duke Ellington est un génie qui incarne à lui seul un siècle de jazz et dont l’oeuvre représente la beauté inépuisable de la musique afro-américaine. Elle s’écoute et se goûte comme une variation obsessionnelle sur la naissance de la lumière et de la couleur, avec comme seul credo : « It Don’t Mean A Thing If It Ain’t Got That Swing ».
A l’occasion du centenaire du premier enregistrement de Jazz (1917), les 1001 NUITS DU JAZZ retracent en musique, 2 jeudis par mois et à travers 50 grandes soirée-concerts, les différentes étapes de l’épopée du jazz dans le cadre historique du Bal Blomet. Chacune d’entre elles est rythmée par de courtes présentations d’artistes, de standards, d’épisodes ou de notions musicologiques marquantes de l’histoire du jazz.
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