Abou Diarra, étoile montante de la musique malienne, a élargi la gamme de son n’goni, passant de 6 à 14 cordes. Il l’utilise ainsi comme une guitare, une basse, une harpe ou une percussion, dans des balades intimistes et nostalgiques ou des rythmes endiablés de bals poussières. En invitant les arrangements délicats de Nicolas Repac et l’harmonica blues de Vincent Bucher sur son dernier opus Koya, il creuse encore plus loin le sillon du blues mandingue.
Réservation obligatoire même pour les gratuités sur www.quaibranly.fr (uniquement pour les tarifs pleins et réduits) / par téléphone au 01 56 61 71 72 (lundi au vendredi de 9h30 à 17h), aux guichets du musée.
Tarif plein : 10€ / tarif réduit : 7€ (placement libre)
Gratuités : adhérents, 18-25 ans (résidents de l'Union Européenne), demandeurs d'emplois, visiteurs en situation de handicap et accompagnateur, pass éducation.
Le billet du concert donne accès aux collections permanentes et expositions en mezzanines, le jour même.
0 Commentaire Soyez le premier à réagir