«Tout est affaire de jubilation et de qui-vive. Le collectif In Vitro résume cette façon d'être (en scène) du beau mot d'immédiateté.» Rue89
Autour de la table, le temps d'un long repas rocambolesque, deux décennies et deux spectacles défilent. Le premier, "Derniers remords avant l'oubli" de Jean-Luc Lagarce, s'ancre à la fin des années 80, lorsqu'Hélène, Paul et Pierre se retrouvent pour vendre leur maison achetée en commun en 68. De cette somme de personnages «baby-boomers», de l'envie de les faire vieillir, d'imaginer ce que pèsent leurs rêves dans les yeux de leurs enfants, est née une deuxième pièce. Collectivement créée et improvisée chaque soir, "Nous sommes seuls maintenant" s'implante dans une maison dans les années 90 où Bulle, 20 ans, observe ses aînés – d'anciens jeunes éternellement jeunistes – solder les comptes et régler l'addition.
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