D’abord une phrase décochée vers le public comme une flèche… Ensuite un plateau semblable à une prison, observable de tous côtés, avec sept femmes plongées dans la pénombre. Que voyons nous vraiment ? Ne sommes-nous déjà en train d’interpréter leurs positions, leurs mouvements ? De fantasmer leur présence ? Pression et oppression du monde féminin créent le premier tableau de la pièce de la chorégraphe Phia Ménard.
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