Dans Je brasse de l’air, Magali Rousseau se met en scène avec les mécanismes qu’elle crée depuis dix ans. A travers un texte simple, personnel et intime, le spectateur déambule avec elle dans le clair-obscur de ses souvenirs, peuplés de machines qui entrent dans la lumière et s’animent tour à tour. Presque des êtres à part entière qui vont nourrir une zone particulière de notre imaginaire, celle de nos espoirs et de nos peurs.
Source : Open Agenda
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