Guidé par une obsession obscure, le prix Nobel de mathématique Laurent Schwartz délaissait ses campus vietnamiens le soir tombé pour rejoindre la forêt. Mus par la même attirance, l'écrivain Vladimir Banokov hantait les rayons du Muséum d'histoire naturelle d'Harvard, le pianiste Walter Gieseking arpentait, filet à la main, les collines de Vence... A chaque fois, l'histoire commence lorsque, garçonnet, on reste fasciné par le vol nerveux d'un papillon arrogant. Dès lors, le destin du naturaliste est écrit.
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