Il fallait pouvoir rêver l’inconcevable… Puisque la guerre est folie, la paix devait l’être aussi. Dans son hôpital, Samuel Akounis a fait promettre à son meilleur ami de monter Antigone d’Anouilh en pleine guerre du Liban. Georges est parti à Beyrouth avec pour projet de faire jouer sur la ligne de démarcation un fils ou une fille de chaque camp. Il est parti main tendue à la paix mais la guerre lui a offert brutalement la sienne… De retour auprès de Sam, il raconte. Et comme il aime le théâtre, il rejoue aussi. Il se plonge à corps perdu jusqu’à revivre ces souvenirs magnifiques, poétiques et bouleversants.
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