Octobre 1793. Le général Bonchamps, blessé à mort, ordonne la libération de 5 000 prisonniers républicains à Saint-Florent-le-Vieil. Trente ans plus tard, David d’Angers, fils d’un républicain ayant combattu en Vendée, sculpte le monument funéraire de Bonchamps. Le geste du chef vendéen immortalisé dans le marbre par un jeune artiste en pleine ascension doit-il être vu comme un emblème de réconciliation ?
L’exposition invite à parcourir deux siècles d’Histoire, à découvrir les enjeux autour de ce chef-d’oeuvre et révèle la vie de ces deux figures d’exception.
Source : Open Agenda
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