Avec la complicité du danseur-acrobate Sylvain Julien, Bab Assalam réinvente le mythe des derviches tourneurs dans un concert « tourné » où la transe soufie devient une poésie circassienne. C’est à Rûmi, grand poète persan du 13e siècle, que remonte l’univers hypnotique de la danse soufie et le voyage sans départ à laquelle elle invite avec sa longue transe destinée à mener à l’extase.
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