À la fin du XIXe siècle, l’essor de l’hôtellerie à Gérardmer conduit les propriétaires à faire appel à une main d’oeuvre spécialisée, saisonnière et étrangère. Les maîtres d’hôtels sont suisses, les lingères et les sommeliers sont allemands, les liftiers et les chasseurs sont italiens. Ces travailleurs sont perçus avec une grande méfiance par la population locale, certains y voient même une horde d’espions... alors qui sont-ils vraiment ?
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