L’approche de Maxence Rifflet est expérimentale. Photographier en prison, plutôt que la prison, voilà qui résume son projet. La formule est aussi simple et lapidaire que la voie empruntée, sinueuse et escarpée. C’est en collaboration avec des détenus qu’il a fait chemin, partageant avec eux cette interrogation : comment photographier dans un espace de surveillance sans le redoubler ? Comment cadrer sans enfermer ?
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