Dada n’a ni queue ni tête. Dada colle, agrège, mélange… Dada se moque. Et qui mieux que les enfants sont dada ? Une danseuse et un contre-ténor marionnettistes nous plongent dans un monde imaginaire, un univers plastique portés par l’esprit dada.
Pied de nez à la rigueur des conventions et aux batailles idéologiques du début du XXe siècle, le dadaïsme marqua, par sa liberté créatrice langagière et son irrévérence, l’imaginaire de nombreux artistes. Pour les plus jeunes spectateurs, Amélie Poirier se plait ici à reproduire à échelle variée des marionnettes dada de Sophie Taeuber-Arp. Celles-ci évoluent dans une performance sonore, inspirée par des poèmes dada où la parole devient davantage matière que sens.
Tout public à partir de 2 ans.
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