Des mélodies taillées au couteau, une émotion brute et foudroyante, portée à son paroxysme comme le chant poignant des déracinés. Sa poésie intense en occitan épouse la transe d’une mandole électrique oscillant entre rythmique facétieuse d’un chaâbi futuriste et distorsions brûlantes d’un rock dévastateur.
Source : Open Agenda
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