« Qui pourrait me croire si je racontais ? Je suis en enfer. Il crie si fort pour que je fasse ce travail, je cède, il me fait peur… s’il me voit inactive, il me tuera… »
Marie Murski décrit dans son livre le processus irréversible de la violence, de la terreur, du décervelage, année après année. Mise en esclavage, enfermée dans un jardin qui est son oeuvre et dont elle finit par comprendre qu’il sera son cimetière, elle est pourtant incapable de le quitter, de s’enfuir en le laissant voué à la destruction.
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