De manière fluide ou chaotique, l’image initiale, empruntée à une statue in situ, se transformera pour voyager d'une silhouette à une autre, de Jeanne d'Arc au poilu, de la veuve éplorée au fier savant, reliant ainsi diverses figures arrêtées riches d'évocations. Un mouvement imperceptible, une lente érosion fascinante, une fonte progressive, construite au ralenti, mais aussi des fragments de corps, de matière qui se détachent, lâchent sous l'action du soleil ou de la pluie… Tout un ensemble de mouvements pour une seule hypothèse finale : la disparition…
Source : Open Agenda
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