Leur nom vient de la prière du Rosaire, une méditation consacrée à la Vierge Marie et à la vie du Christ. Du latin ecclésiastique rosarium, il désigne une coutume qui consiste à placer sur la tête des vierges des couronnes de roses.
Dans les jardins, des petites roses de bronze indiquent les étapes de la prière du rosaire. Dans les années 1950-1960, elles ont remplacé les quinze stations des mystères du Rosaire qui avaient été inaugurées en 1864.
Les stèles du chemin de Croix du XIXe siècle créées par le sculpteur Fabisch et l’architecte Bossan ont été transférées sur le parvis devant la basilique en 1993.
Les jardins comportent de nombreuses essences d’arbres et de plantes (sycomores, acacias, pins noirs, épicéas, mélèzes, tilleuls…). Le jardin des roses, sur trois terrasses, accueille une collection de roses anciennes.
Inaugurés en 1864, les jardins du Rosaire se composent de 1400 mètres de chemins qui ont été réaménagés dans les années 1990 par Michel-Antoine Boyer, architecte urbaniste, et Sylvie Maniaque, géographe. Ils couvrent actuellement plus de 2 ha.
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