Mêlant le chef-d’œuvre musical de Tchaïkovski à des arrangements plus contemporains comme il aime à le faire, il s’empare du mythe de la danseuse-cygne. Un travail amorcé en 2018 avec Ghost, où il rendait déjà hommage à Marius Petipa en se projetant dans l’imaginaire du chorégraphe au moment où lui vint l’idée de son Lac des Cygnes. Passé par la danse classique puis la danse contemporaine, Angelin Preljocaj se lance dans la chorégraphie et la création de sa propre compagnie en 1985 – installée au Pavillon Noir, Centre Chorégraphique National d’Aix-en-Provence depuis 2006 – avec laquelle il déploie une inépuisable inventivité, puisant dans des thèmes classiques ou des sujets d’actualité.
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