Le spectacle, d’une durée d’une heure quinze, se présente sous la forme de quatre contes entourant des bribes de lettres et de fragments de journaux écrits par des femmes d’une petite commune des Hautes-Alpes pour leurs poilus. La présence d’ombres chinoises apporte des espaces de respiration et de suggestion.
Cette création est une réflexion sur La Guerre, sous toutes ses formes, mais particulièrement celle de 14/18 ; avec le « pourquoi ? » de Freud et de Prévert. Elle interroge les raisons autant qu’elle aborde la fraternité, l’héroïsme, l’amour, la désolation, l’absurdité…
Guy Chambrier mêle des souvenirs familiaux à la voix des femmes, et, par le biais de nombreuses lectures de soldats, cherche à ouvrir un questionnement avec le spectateur, plus qu’un espace de commémoration.
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