Une chaise et un chapeau comme unique décor, Stan entre en scène en dansant sur un air de Michael Jackson pour emmener le public dans ses propres univers. Au gré du spectacle, l'artiste aux multiples talents joue admirablement avec les mots et les personnages qu'il incarne. De la Joconde à la Vénus de Milo, de « l'homme enceint » au rappeur avéré, il met l'humour de manière subtile au service de la langue, avec une interprétation rappelant la verve de Fabrice Luchini.
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