WILD KARMA rappelle plus une vieille pétoire des marais de Louisiane un soir de tempête plutôt qu'un AK47 interchangeable, autant dire sans âme... et sans karma ?!
La fièvre de rendre hommage en jouant vrai, dans la plus pure tradition rock'n'roll originelle, celle qui jouait au lieu de parler, celle qui faisait fumer des vieux amplis, des cordes et des peaux au son unique, loin du plastique qui gangrène la scène rock actuelle.
Les fantômes destroy de Johnny Cash, Hasil Adkins et Gene Vincent tournoient au dessus, un étrange sourire aux lèvres.
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