Lui, c’est Anton Tchekhov, elle, c’est Lydia Mizinova, La Mouette. Ils se plaisent, se désirent, se titillent, s’agacent, se manquent. Ils s’écriront presque 10 ans. Allègresse, férocité , joie, tragédie, propos amoureux, bavardages, une ouverture sur l’atelier de l’ écrivain, voici ce qu’on trouve dans leur correspondance. Sous cette lumière, La Mouette - sans rien perdre de sa complexité ni de son mystère, gagne quelque chose d’infiniment concret...
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