Ayant son port d’attache à Paris, La Marcha souhaite faire son chemin, loin des clichés souvent attachés à la salsa, en revendiquant une musique populaire, urbaine et d’aujourd’hui.
Les arrangements font la part belle à une section de cuivres puissante et entraînante (2 trompettes, 2 trombones et saxophone baryton).
Les textes, quant à eux, dénotent une volonté de rompre avec les conventions. Engagés et réfléchis, ils s’inscrivent dans notre quotidien, qu’ils scrutent avec perspicacité et humour.
La Marcha veut aussi marcher, militer pour que continuent à exister des orchestres grand format.
Sur scène, La Marcha est un orchestre festif, optimiste et généreux.
Guillaume Rouillard : trompette
Julien Matrot : trompette
Robin Ducruet : trombone
Vincent Renaudineau : trombone
Laurent Dumont : saxophone baryton
Nils Wekstein : congas
Guillaume Broquin : timbales
Philippe Pham Van Tham : bongos
Olivier Marlangeon : percussions
François Piriou : babybass
Cristobal Diaz : piano
Eloan Haber : chœurs
Blanca Letelier : chœurs
Julio David Lopez Perez : chant
La Marcha
La Marcha – nom du rythme principal joué par les congas dans la salsa – entend à la fois proposer une musique nourrie par la tradition des grands orchestres de salsa capable de satisfaire les aficionados du style, et rompre avec les conventions, interroger et surprendre.
La Marcha veut aussi marcher, militer pour que puissent continuer à exister en ces temps de crise des orchestres de grands formats, des orchestres au service de chansons engagées et ancrées dans leur temps. Ayant son port d’attache à Paris, La Marcha souhaite faire son chemin, loin des clichés et de l’imagerie souvent attachée à la salsa, en revendiquant une musique qui se veut avant tout une musique urbaine.
La Marcha – qui dans le monde de la nuit signifie aussi, fête, rigolade – se veut surtout un orchestre festif, optimiste et généreux prêt à offrir sa musique au plus grand nombre car la salsa a toujours été et se doit de rester une musique populaire.
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