La chercheuse Fleur Hopkins explore les "machines néphologiques" qui projettent sur les astres des images destinées aux extraterrestres.
Chimères scientifiques : La vie rêvée des machines
Prenons part à un voyage dans la vie rêvée des machines, conjuguée au futur antérieur. La chercheuse Fleur Hopkins propose au cours de quatre conférences de (re)découvrir un genre littéraire méconnu, le merveilleux-scientifique, en compagnie d’artistes dont l’oeuvre fait écho à cet imaginaire oublié.
Machines néphologiques
En pleine période d'essai de communication avec la planète Mars, Félicien Champsaur dans Dinah Samuel projette sur les astres un affichage céleste, tandis que Léon Groc, dans L'homme qui fait chanter les astres, capte la lumière lunaire pour en faire une mélodie.
Félicie d’Estienne d’Orves et Julie Rousse nous proposent à leur tour de tourner notre regard vers le ciel et de nous projeter dans l'espace intersidéral. Les deux artistes collaborent à l'écriture d'une partition visuelle et sonore, composant avec les distances et les spécificités d'une centaine d'objets célestes choisis : étoiles, planètes, trous noirs, pulsars, supernovas… Pour cette séance, elles proposent de lire le ciel au-dessus de nous.
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