Robyn Orlin, Camille & Phuphuma Love Minus - Philharmonie de Paris

Chorégraphe connue pour ses spectacles extravagants, très hauts en couleurs, Robyn Orlin orchestre un détonant concert-performance qui réunit sur scène la frondeuse chanteuse Camille et le chœur sud-africain Phuphuma Love Minus. Capable d’incroyables prouesses vocales, Camille s’est affirmée comme l’une des figures de proue de la chanson française contemporaine. En quête d’un dispositif scénique à la mesure de son univers hors normes, elle avait fait appel à la très iconoclaste chorégraphe sud-africaine Robyn Orlin pour concevoir la mise en espace de son dernier concert-spectacle – accueilli à la Philharmonie de Paris en octobre 2018. Liées par une étroite complicité artistique, les deux femmes se lancent aujourd’hui dans une autre aventure commune. Conçue et mise en scène par Robyn Orlin, avec Camille au chant et à la danse, cette nouvelle création prend la forme d’un concert-performance axé autour de Phuphuma Love Minus, chœur de chanteurs et danseurs de Johannesburg. Lieu : Salle des concerts - Cité de la musique

Celimpilo Ngidi

Mbongeleni Ngidi

Mqapheleni Ngidi

Robyn Orlin

Robin Orlyn, née en 1955 à Johannesburg en Afrique du Sud, est une danseuse et chorégraphe sud-africaine de danse contemporaine. Robyn Orlin est née d'un père lituanien et d'une mère danseuse polonaise émigrés en Afrique du sud avant la Seconde Guerre mondiale. Après une formation de danse classique, elle part, à la fin des années 1970, étudier la danse contemporaine à Londres, et fait des études d'art visuel à Chicago entre 1990 et 1995. Elle débute sa carrière de chorégraphe en 1980. Ses thèmes de prédilection ont directement à voir avec les drames qui ont parcouru et continuent de traverser son pays (apartheid, sida) en utilisant une forme de danse très théâtrale et en se servant de la vidéo. Les spectateurs sont parfois amenés à participer de manière interactive au spectacle. Elle revisite également de manière humoristique les grands classiques de l'art occidental. Longtemps perçue comme l'enfant terrible de la danse sud-africaine avant sa reconnaissance en Europe au début des années 2000, elle reste convaincue que « l'art ne sert à rien, s'il n'est pas en prise avec le réel ». Source : Wikipedia

Siyabonga Manyoni

Amos Bhengu

Jabulani Mcunu

Mbuyiseleni Myeza

Phuphuma Love Minus

S'Yabonga Majozi

CAMILLE

Lucky Khumalo

Mlungiseleni Majozi

Saziso Mvelase