Wolfgang Doerner célèbre la fraîcheur beethovénienne avant que David Bismuth déploie les mystères de la Symphonie "Titan" de Mahler.
« Votre Beethoven n’est pas mon Beethoven », aurait répliqué Mahler à un ami qui s’étonnait du caractère inhabituel des symphonies beethovéniennes sous sa baguette. Toujours selon le témoignage de Bruno Walter, Mahler, lorsqu’il composait la fin du premier mouvement de sa Première Symphonie, aurait eu une vision : Beethoven éclatant de rire et partant en courant.
Lieu : Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
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