« Ami, si le canari ne chante pas, ne blâme nul autre que toi
Ami, si le canari ne chante pas… Chante pour lui, chante… »
Ghani Lahou, qui veut dire « Chante pour lui », propose une interprétation de l’évolution de l’oeuvre de l’immense poète palestinien Mahmoud Darwich. Un univers fait de
contrastes qui nous conte la fragilité et la sensibilité humaine comme la violence du monde. Une performance pluridisciplinaire entre orient et occident - ou quand la langue française se mêle à l’arabe littéraire - située au carrefour des arts vivants, quelque part où le mouvement rencontre le son pour donner vie aux mots.
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