De la première à la seconde Ecole de Vienne, ou de Mozart à
Schoenberg, le parcours confié au compositeur et chef Bruno
Mantovani au fil de deux concerts et d’une semaine contrastée,
entre classicisme et modernité.
Avec l’auteur des Nozze di Figaro, le point culminant d’un style
opératique et symphonique insurpassé, au seuil d’un monde en
gestation. Une esthétique de la clarté sonore, qu’explorent au
XXe siècle Debussy et Mantovani autour de la harpe et d’un
ensemble « mozartien ».
Des danses sacrées, profanes ou libres, affranchies de toute
pesanteur orchestrale pour ne livrer que l’essence de la pensée.
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