La fameuse Danse macabre, dans un programme de chefs-d’oeuvre
ouvrant une série de plusieurs concerts de la saison pour évoquer
Saint-Saëns, à l’occasion du centenaire de sa mort en 1921.
Une référence aussi au pianiste virtuose qu’il fut, avec le 3e Concerto
de Beethoven joué parallèlement au 15e de Mozart lors de son
premier concert à Pleyel en 1846.
Avec la grande symphonie « Haffner » du maître viennois, le
témoignage de son admiration pour ses prédécesseurs classiques
dont Beethoven, auteur de l’unique opéra Fidelio, élargit l’horizon
au tournant du siècle.
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