Trente-cinq mètres, c’est la longueur d’un des deux bas-reliefs reconstitués grâce au montage de 21 photos.
Parant les grilles du jardin, ces frises révèlent la préciosité et la finesse des détails sculptés. Elles invitent le passant à découvrir un Angkor plus mystérieux. « Entre peinture et photographie », les 27 oeuvres exposées dans le musée offrent une vision poétique et sensible des temples encore épargnés par le tourisme de masse lors des prises de vue en 1993.
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