L’un boit pour se souvenir, l’autre pour oublier. Jean Gabin, le vieux lion du cinéma français, serre dans ses bras Jean-Paul Belmondo, le jeune loup de la Nouvelle Vague. Deux monstres sacrés qui forment ici un duo grandiose. Ils vacillent, chancellent, titubent ensemble et récitent à l’unisson leur Petit Audiard à la perfection.
Forcément, avec ce Michel-là au scénario et aux dialogues, ça jacte dru et sévère de ce qu’on a fait durant sa jeunesse. De préférence, autour d’un Picon bière.
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