Le travail de Thomas Bigot s’érige tel un labyrinthe en perpétuelle évolution. Trouver l’issue est sans risque : on se love dans les méandres des lignes et des espaces colorés, on prend le temps de contempler les multiples points de vue d’un paysage en construction, puis on choisit son parcours.
Finalement, on trouve son chemin, on participe à l’expansion de l’œuvre. On tisse sa propre toile. Le fil dé-construit les espaces, il cherche l’équilibre et invite au dialogue. Le fil est multiple.
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