Les mélomanes toulousains le savent : Maxim Emelyanychev aime mettre
sa connaissance du répertoire ancien au service des grands chefs-d’œuvre classiques. Aux côtés du jeune pianiste israélien Ishay Shaer, il associe Beethoven à Haydn, rappelant combien « Ludwig van » apprit de son aîné. Deux symphonies emblématiques de leurs maturités dialoguent : la merveilleuse Symphonie n° 95 « londonienne » et la Symphonie n° 8 au charme solaire.
JOSEPH HAYDN
SYMPHONIE N° 95 EN UT MINEUR, HOB. I : 95
LUDWIG VAN BEETHOVEN
CONCERTO POUR PIANO N° 4 EN SOL MAJEUR, OP. 58
SYMPHONIE N° 8 EN FA MAJEUR, OP. 93
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