Évocation des longues marches, des transhumances, ode aux grands troupeaux, aux cris du vent. Il y a le berger, “le chef des bêtes”, celui qui maintient l’équilibre sans prendre le pouvoir, celui qui parle peu, qui sait mener sans jamais se fâcher. Celui qui envie la sagesse des animaux et s’épuise à vivre avec eux pour comprendre... Il y a l’étoile, celle qui indique le nord, qui de ses chants ancestraux maintient l’harmonie entre les hommes et les bêtes. Elle donne une voix au miracle qui unit le troupeau à son berger... (Cie régionale) N'oubliez pas d'apporter votre siège pour vous installer confortablement...
Source : Open Agenda
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