On retrouve avec bonheur les maladresses choisies de Camille Boitel et de ses comparses faussement approximatifs, leur folie communicative et leur combat pour tenir debout, pour que ça marche. Nul doute qu’on y retrouve leurs numéros brinquebalants entre des mondes qui nous charment et nous enchantent, leurs prouesses maladroites, comme l’enfance de l’art. Comme si nous étions, par ce nous ratons parfois chacun, au plus proche de ce qu’on réussit ensemble.
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