À partir de la fin du XIXème siècle, au sein des sociétés occidentales modernes, l’art revêt la mission de former la sensibilité de l’« Homme » et ravive les fantasmes de l’artiste-inventeur au sein de l’avant-garde, fantasmes qui persistent au lendemain de la Seconde Guerre mondiale à travers le paradigme « art et technologie ».
Cette conférence reviendra sur quelques aspects des interactions entre les artistes et les objets techniques au sein d’environnements média-techniques de plus en plus complexes et ubiquitaires, dans le contexte historique de ce qui a été appelé l’ « âge électronique » à partir des années 1950, une période teintée à la fois des rêves d’un monde cybernétique et des craintes d’une société « de contrôle ».
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