Marie Huot est née au bord de la mer en 1965. Elle envisage l’écriture comme une mémoire, où ses livres sont des boîtes pour les voix perdues, des refuges contre l’oubli. Elle a édité une vingtaine de livres, aux éditions du Temps qu’il fait, dont Absenta (prix Jean Follain 2002), Chant de l’éolienne (prix Max Jacob 2007), mais également aux éditions du Bruit des autres, Encre & lumière, Cadran ligné, Al Manar, Circa 1924, ainsi que dans de nombreuses revues et anthologies. Elle lit ses poèmes lors de rencontres ici et là. Elle a également travaillé avec des peintres pour des livres d’artistes. Parmi ses dernières publications : Cantilène, Mimosa reliques et révolution, Ma maison de Geronimo, Le Nom de ce qui ne dort pas.
Camille Loivier vit à Paris. Poétesse, traductrice du mandarin, elle a été enseignante-chercheuse en littérature taïwanaise. En tant que poétesse, nourrie d’auteurs asiatiques, anciens et modernes, elle louvoie entre prose et poésie pour tenter d’approcher puis de retenir ce qui ne cesse de fuir. Elle a dirigé la revue Neige d’Août de 1999 à 2016. Elle contribue régulièrement à la revue Remue.net. Sa recherche s’inscrit entre les langues, et elle se considère à présent comme ornithologue en herbe. Elle propose régulièrement des ateliers d’écriture dans les jardins dans une vision écoféministe ou artistique.
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