Le mal absolu aurait-il pu être évité ?
Dans ce « stand-up d’art et d’essai, conférence et confidence, mi-idiot, mi-intello », Éric Feldman explore avec humour et gravité les traumatismes des « enfants cachés » survivants de la Shoah : ses propres parents, oncles et tantes.
Sur le fil d’un mystère qu’on se prend à vouloir résoudre, le texte nous plonge dans un tourbillon de pensées, d’émotions, de rires et de souvenirs aux accents yiddish.
On y croise notamment tonton Lucien et tata Sarah, le grand écrivain Isaac Bashevis Singer, Milosh le chat d’Éric, et on pense aux grandes figures des humoristes juifs new-yorkais.
Une autofiction pour dépasser son histoire personnelle, toucher le cœur des gens et célébrer, en ces temps obscurs, la fragilité et le miracle d’être vivant.
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