By Night
Gospel et Negro Spiritual : un nouvel atelier de chant animé par Lionel Achenza (Raspigaous) - Mjc-L'escale
Du au
De 18h30 à 18h30
Mjc-L'escale
170, Chemin Saint-Michel
13400
Aubagne En Provence
LIONEL ACHENZA, LEADER DU FAMEUX COMBO SUDISTE RASPIGAOUS, ANIMERA À LA RENTRÉE UN ATELIER DE CHANT CHORAL À LA MJC
Avec son groupe Raspigaous né dans l’orgueilleux quartier du Panier en 1996, Lionel Achenza a partagé la scène avec les plus grands noms du reggae parmi lesquels Max Roméo, Pablo Moses, The Wailers ou encore Barrington Levy. Des « Vieilles Charrues » en Bretagne à La Cigale en passant par Douarnenez au festival « Les Arts Dînent à l’Huile », le combo sudiste a incarné un reggae made in Marseille se jouant des clichés du genre avec fougue mais respect. En 2013, il créait l’événement au Dock des Suds à Marseille en réapparaissant sur scène lors du concert de solidarité « United For Jamaica » après une trop longue absence. Il exauçait ainsi le souhait de milliers de fans qui attendaient le retour au devant de la scène d’un groupe devenu culte dans sa ville et qui prépare en ce moment un nouvel album dont la sortie est prévue en 2017.
Musicien aguerri, leader de sa formation, Lionel Achenza est aussi un chanteur passionné par le negro spiritual, ce chant sacré né chez les esclaves noirs des États-Unis, et par le gospel dont les racines ont évolué en intégrant des éléments de musique soul. Pendant quatre années, Lionel Achenza a été ténor au sein de l’ensemble vocal « Al Segno » à Aix-en-Provence qui regroupe une quarantaine de bons amateurs partageant leur amour du chant autour d’un répertoire éclectique, allant des chants sacrés aux chants profanes ou traditionnels. Il a ensuite dirigé des chorales amateures dans les quartiers populaires de la cité phocéenne avant de travailler en tant que coach artistique avec l’association Aix’Qui. Direction de groupes, mise en scène, direction artistique, ateliers d’écriture… Lionel Achenza prend goût rapidement à ce qui de toutes évidences était chez lui une vocation. Pendant un an il dirigera la chorale universitaire de Besançon.
« Il faut que ça transpire »
En le recrutant pour animer le nouvel atelier de chant choral, la MJC d’Aubagne a fait bonne pioche. Il faut dire que le lien entre l’artiste et l’association culturelle est très fort et ne date pas d’hier. Non seulement Raspigaous a fait « L’Escale », la salle de musiques actuelles de la MJC, comme la flopée de musiciens qui s’y sont produits depuis une trentaine d’années, mais il a en outre était de ceux qui ont participé en 2015 aux concerts de solidarité pour soutenir l’activité de la structure qui rayonne depuis 1973 sur le territoire régional. L’artiste qui vit désormais à Aubagne où il anime aussi un atelier d’écriture avec les enfants de l’école primaire du Pin-Vert espère beaucoup de cet atelier qui sera composé à 80% de chant sacré, negro spiritual, gospel et chant du monde, des chants qu’il affectionne et qui sont adaptés, dit-il, à une première année de chorale avec une bonne dose technique. Son objectif : monter un grand ensemble vocal. Il fixe la barre haute : « « Je rêve un peu mais j’aimerais avoir un groupe de 80 personnes ». Pour parvenir à cet objectif, la recette est invariable : du travail et encore du travail. Les séances devraient durer trois heures, pas moins, le temps nécessaire pour échauffer et travailler la voix et tout donner. « Il faut que ça transpire » prévient le futur animateur qui sera présent une fois par semaine à la MJC, probablement le mardi soir.
Renseignements au 04 42 18 17 17.
Avec son groupe Raspigaous né dans l’orgueilleux quartier du Panier en 1996, Lionel Achenza a partagé la scène avec les plus grands noms du reggae parmi lesquels Max Roméo, Pablo Moses, The Wailers ou encore Barrington Levy. Des « Vieilles Charrues » en Bretagne à La Cigale en passant par Douarnenez au festival « Les Arts Dînent à l’Huile », le combo sudiste a incarné un reggae made in Marseille se jouant des clichés du genre avec fougue mais respect. En 2013, il créait l’événement au Dock des Suds à Marseille en réapparaissant sur scène lors du concert de solidarité « United For Jamaica » après une trop longue absence. Il exauçait ainsi le souhait de milliers de fans qui attendaient le retour au devant de la scène d’un groupe devenu culte dans sa ville et qui prépare en ce moment un nouvel album dont la sortie est prévue en 2017.
Musicien aguerri, leader de sa formation, Lionel Achenza est aussi un chanteur passionné par le negro spiritual, ce chant sacré né chez les esclaves noirs des États-Unis, et par le gospel dont les racines ont évolué en intégrant des éléments de musique soul. Pendant quatre années, Lionel Achenza a été ténor au sein de l’ensemble vocal « Al Segno » à Aix-en-Provence qui regroupe une quarantaine de bons amateurs partageant leur amour du chant autour d’un répertoire éclectique, allant des chants sacrés aux chants profanes ou traditionnels. Il a ensuite dirigé des chorales amateures dans les quartiers populaires de la cité phocéenne avant de travailler en tant que coach artistique avec l’association Aix’Qui. Direction de groupes, mise en scène, direction artistique, ateliers d’écriture… Lionel Achenza prend goût rapidement à ce qui de toutes évidences était chez lui une vocation. Pendant un an il dirigera la chorale universitaire de Besançon.
« Il faut que ça transpire »
En le recrutant pour animer le nouvel atelier de chant choral, la MJC d’Aubagne a fait bonne pioche. Il faut dire que le lien entre l’artiste et l’association culturelle est très fort et ne date pas d’hier. Non seulement Raspigaous a fait « L’Escale », la salle de musiques actuelles de la MJC, comme la flopée de musiciens qui s’y sont produits depuis une trentaine d’années, mais il a en outre était de ceux qui ont participé en 2015 aux concerts de solidarité pour soutenir l’activité de la structure qui rayonne depuis 1973 sur le territoire régional. L’artiste qui vit désormais à Aubagne où il anime aussi un atelier d’écriture avec les enfants de l’école primaire du Pin-Vert espère beaucoup de cet atelier qui sera composé à 80% de chant sacré, negro spiritual, gospel et chant du monde, des chants qu’il affectionne et qui sont adaptés, dit-il, à une première année de chorale avec une bonne dose technique. Son objectif : monter un grand ensemble vocal. Il fixe la barre haute : « « Je rêve un peu mais j’aimerais avoir un groupe de 80 personnes ». Pour parvenir à cet objectif, la recette est invariable : du travail et encore du travail. Les séances devraient durer trois heures, pas moins, le temps nécessaire pour échauffer et travailler la voix et tout donner. « Il faut que ça transpire » prévient le futur animateur qui sera présent une fois par semaine à la MJC, probablement le mardi soir.
Renseignements au 04 42 18 17 17.
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