Accompagné sur scène d’un quatuor de jazz, André Dussollier, virevoltant, interprète avec un rare brio ce monologue d’Alessandro Barricco et nous embarque dans les années 1920 sur un paquebot transatlantique à la rencontre d’un personnage extraordinaire.
Novecento a été abandonné à sa naissance, en salle des premières classes du Virginian, dans une boite en carton posée sur un piano. Avant de descendre à New York, ses parents ont du se dire « Peut-être qu’un gars des premières l’adoptera et qu’il deviendra riche et heureux » Riche il ne le fut pas, mais il devint pianiste. Le plus grand des pianistes. Sans jamais descendre à terre.
0 Commentaire Soyez le premier à réagir