Le mot d'ordre caricatural du gouvernement semble être : favoriser les plus riches (quasi-suppression de l'ISF, loi travail et ordonnances) et mettre des bâtons dans les roues des plus fragiles : retour des contrôles au faciès, sort réservé aux migrant.es, fortes diminutions des APL, coup d'arrêt aux contrats aidés, saignée des budgets des collectivités locales, la poursuite de la privatisation des Universités par asphyxie (sélection et privatisation), privatisations, abandon du service public (santé, éducation, social...)
En gros, c’est jusqu'à l’idée de service public qu’il veulent détruire ou plutôt construire un monde ou rien n’est en dehors du marché, tout est un business.
Ils détruisent tout ce qui nous protègent du capitalisme sauvage et sous couvert de reforme nécessaire, de progrès, de modernisation, ils nous renvoient au 19ème siècle.
Et comme au 19 siecle seule les mobilisation populaires, grèves, blocages, manifestations, occupations... nous permettront non seulement d’éviter la barbarie qui vient mais surtout d’aller plus loin.
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