Sam Quealy a grandi en Australie au contact autant de raves que de boîtes de nuit, s’inscrit dans le sillage de Madonna ou encore de Marlène Dietrich en donnant vie lors de ses performances presque théâtrales à des chansons qui allient le rythme dansant de la techno au côté addictif du meilleur de la pop. Style excentrique, cheveux blonds platine et maquillage marqué ; tout est acté pour que les têtes se retournent en sa présence - et c’est exactement ce qu’il se passe à son arrivée en France, lorsqu'elle se fait remarquer par le co-fondateur de La Femme Marlon Magnée, qui deviendra très vite son inséparable partenaire créatif. Il produira alors le premier album de Sam Quealy, un Blonde Venus naturellement nourri par des sonorités électroniques et une énergie punk réminiscente du groupe français. Cela ne l’empêche pas pour autant de tracer son propre chemin, comme une figure unique dans la très large sphère pop qui n’en finit pas de se renouveler.
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