On monte mécaniquement les marches du temps, on ne prend plus le temps de s’arrêter.
Deux comédiens font revivre les escaliers de nos villes, de nos vies. Ces extraits de vie volés forment des bulles de tendresse et de détresse dans lesquelles les personnalités s’entrecroisent et s’emmêlent.
Une ôde à des vies qu’on aurait pu vivre, à des espaces qu’on aurait pu prendre, qu’aurait-il pu se passer ?
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