ATTILA CSIHAR + IGGOR CAVALERA + VERSET ZERO - Mains D'Œuvres

Sanit Mils, avec l'accord de Swamp Booking, présente :
ATTILA CSIHAR & IGGOR CAVALERA, À MAINS D’ŒUVRES !
+ guest : VERSET ZERO
Show-événement, places limitées. Date quasi unique en Europe.

ATTILA CSIHAR
Figure culte de la scène extrême, Attila Csihar (Mayhem, SUNN O))), Tormentor) se produit en solo sous l’alias Void Ov Voices dans une performance rare et rituelle. À l’occasion de la sortie de son tout premier album solo Baalbek (Ideologic Organ), il invoque une transe vocale captée au cœur des ruines antiques du Liban, sur les Monolithes du Temple de Jupiter. Enregistrée in situ, sa voix y dialogue avec la pierre, le vide, et une mémoire enfouie dans le temps.
Voix incantatoire, tension suspendue, spiritualité tellurique : une cérémonie sonore, habitée, pour traverser les limbes entre rituel archaïque et art vocal extrême.

IGGOR CAVALERA
Batteur iconique de Sepultura et Cavalera Conspiracy, Iggor Cavalera explore depuis deux décennies les lisières entre noise électronique, percussions industrielles et transe analogique. Avec Petbrick, Soulwax, ou en solo, il compose une matière sonore dense et mutante, mêlant synthétiseurs modulaires, drum machines et batterie live.
Dans son live solo, il convoque textures granuleuses, pulsations chaotiques et nappes cinématographiques, pour une expérience brute et immersive. Ce nouveau live fait suite à un concert complet au Klub, et s’inscrit dans la lignée de ses sorties récentes sur Hospital Productions, Deepthroat Records ou Damian Records.

VERSET ZERO
Métamorphosé des abysses de la scène électronique vers un post-metal violent et élégant, Verset Zero conjugue doom industriel, black metal et intensité avant-gardiste. Avec Les Sanctuaires Oubliés (février 2025), il poursuit une œuvre noire et totale, hantée par des collaborations avec Perturbator, Ivar Nikolaisen (Kvelertak) et Ethan McCarthy (Primitive Man, Vermin Womb).
Sur scène, il livre une expérience sonore martiale et viscérale, déjà éprouvée au Bataclan en ouverture de Mayhem, à la Philharmonie de Paris ou au Brutal Assault. Verset Zero incarne une déclaration d’ombre et de mélancolie, où le son devient rituel et l’image globale, implacable.