Les compositions minimalistes et chatoyantes de Ludovico Einaudi ont fait le tour du monde et séduit le cinéma. Son uvre se révèle palpitante, séduisante, élégante, méditative et souvent introspective. Et pour cause : elle émeut autant qu'elle captive. Ce n'est donc pas un hasard si la musique de ce pianiste-compositeur italien fascine les cinéastes du monde entier ; le pouvoir d'évocation et d'attraction des instrumentaux d'Einaudi est immédiat et magnétique. Véritable rite initiatique aux airs tout aussi bouleversants que vivifiant, c'est sans surprise que ce dernier rencontre un succès rapide sur la scène internationale. Depuis Aprile (1998) jusqu'à The Father (2020), en passant par les cartons français Intouchables (2011) et Samba (2014), l'oscarisé Nomadland (2020) ou les récents La Petite et La Tresse (2023), les douces épopées mélodiques de Ludovico Einaudi n'ont pas leur pareil pour suggérer une foule d'émotions, de la plus mélancolique à la plus exaltée.
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