Coup double, parce que, au-delà des différences de genre entre le vaudeville et la farce et malgré l'écart temporel entre les deux pièces (1898 - 1911), ce qui frappe c'est la permanence et la vigueur du style, cette folle gaîté, le tempo effréné, le mélange d'horlogerie fine et de débordements absurdes, la pointe acérée sous la légèreté du ton.Spectacle conçu autour de deux pièces en un acte de Georges Feydeau. Les personnages de ces comédies se choquent et s'entrechoquent. Ils nous entraînent dans leur univers en rupture totale avec ce que la bienséance exige ! En décalage permanent, tant par les actes que par le discours dans une mise en scène de Gilles Bouillon, rythmée et pleine d'humour.
0 Commentaire Soyez le premier à réagir