Nourri de folk américain, de Bob Dylan à Leonard Cohen, Baptiste W. Hamon rêve de grands espaces. Dans la langue de Molière ou de Shakespeare, il chante le voyage et les rencontres. Il ne craint pas de mélanger l’accordéon de Montmartre avec les guitares du Tennessee dans ses compositions hybrides et lumineuses entre folk, country et pop. D’une voix frêle et éraillée, Baptiste W. Hamon nous livre une performance mélancolique et sensible, celle d’un poète installé au fond d’un piano bar, rêvant de liberté.
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