Avec son camion-théâtre, le magicien Yann Frisch construit un écrin à sa (dé)mesure. Un gradin de quatre-vingt-dix places fait face à une petite scène habitée d’un gramophone, d’une bibliothèque, d’une table et d’un fauteuil. Yann Frisch nous y reçoit confortablement chez lui. Là, devant nos yeux écarquillés, il fait valser la réalité, les apparences, ce que l’on sait ou que l’on croit savoir, ce que l’on ressent, ce que l’on voit ou que l’on croit voir.
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