Constante, nécessaire, la lutte pour les droits des femmes est une révolte infinie. Quand un pas en avant est constaté quelque part, trois pas en arrière le sont ailleurs. Mais qu’elle soit silencieuse ou rugissante, la révolte des femmes est universelle.
Pour cette création participative, les deux chorégraphes puisent leur inspiration dans le mouvement argentin de protestation contre les violences faites aux femmes Ni Una Menos et le poème Sangre Nuestra de Susana Chavez. Un travail autour des corps révoltés de ces femmes qui, malgré leurs meurtrissures, demeurent solides, plantées dans le sol, le torse hurlant leurs vérités.
En partenariat avec le CHRS L’Équinoxe et Classe Départ.
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