Le cabaret : un rideau rouge s’ouvre et se ferme et tout devient possible : chaque artiste entre, sort et fait son numéro. Première règle : la surprise. Personne ne doit savoir à quoi s’attendre si ce n’est que ce spectacle parle de notre lien avec la nourriture. On y dit des textes de Valère Novarina aussi bien que Pierre Dac, Eugène Durif, Roland Topor. On y entend des chansons en tout genre, des cornichons de Nino Ferrer, « cochon de lait », musique Cajun, jusqu’à l’air d’opérette d’Offenbach, « Je vais m’en fourrer jusque-là »… Venez goûter à ce cabaret déjanté où l’on parle de nourriture jusqu’à l’indigestion, et où l’on n’hésite pas à venir vous chercher pour danser le slow quand le chanteur entonne « Aline ».
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