« Qu’en est-il aujourd’hui de l’amour », se demandait Angelin Preljocaj en 1994, lors de la création du Parc pour l’Opéra national de Paris. Trente ans plus tard, le monde a encore changé mais son ballet intemporel a fait le tour du monde. Mais Angelin Preljocaj s’affranchit de la tradition en introduisant une bande sonore contemporaine et une grammaire chorégraphique composée de lignes brisées ou d’élans sensuels.
À l’image du dernier pas de deux où les corps tournoient pour un baiser langoureux : un moment de grâce devenu la signature de ce ballet.
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